Semaine de 4 jours : entre impact positif mesuré et débat sans fin
L'idée s'invite dans le débat à intervalles réguliers, mais peine à s'y imposer. Réduire le temps de travail pour améliorer la situation des salariés et diminuer le nombre de demandeurs d'emploi reste une pratique anecdotique à l'échelle des entreprises françaises.
The 6-hour day is (partly) proving itself
In Gothenburg, working less is not a utopia: 30 hours a week (paid at 40) is a reality for Jens, an employee of a telephone assistance platform. A win-win system ?
Allaitement : le sein-graal n’est pas français
Les Françaises allaitant leurs enfants ne le font qu’en moyenne durant trois mois. Entre les difficultés rencontrées avec la reprise du travail, les préjugés liés à l’allaitement en public et le manque de formation des professionnels de santé, la France
« Ce n’est pas le travail qui rend malade, c’est le management »
Autrice du livre Et si on travaillait autrement ?, Florence Benichoux travaille sur la prévention santé en entreprise et sur la qualité de vie au travail. Si elle affirme que les salariés peuvent faire preuve d'adaptabilité, elle souligne les impacts
« Le cerveau n’a pas vraiment de logiciel, il s’adapte »
Docteur en Neurosciences Cognitives, Albert Moukheiber a accompagné l'entreprise Welcome to the jungle dans son passage à la semaine de quatre jours. Pour Impact(s), il revient sur cette expérience et sur ses conséquences pour les salariés comme pour la firme.
La journée de 6h fait (en partie) ses preuves
À Göteborg, travailler moins n'est pas une utopie : 30 heures par semaines (payées 40), c'est une réalité pour Jens, employé d'une plateforme d'assistance par téléphone. Un système gagnant-gagnant ?